C’est au premier étage, au détour d’un couloir, que vous rencontrez Ariane de la Rive, la mère de Gustave Revilliod, dont le nom du musée porte le nom.

Vidéo 1:
« Mon fils Gustave a toujours été fasciné par l’art. Nous habitions rue de l’Hôtel-de-Ville avant. Je suis étonnée de découvrir ce qu’il en a fait, cela a bien changé… »
« J’ai eu quatre fils, Gustave était le troisième. Le benjamin, Olivier, est décédé après trois semaines. Cette mort a énormément affecté mon fils qui avait alors dix ans, il a toujours eu du mal à s’en remettre.

Quelques années plus tard, Gustave perdait ses deux autres frères exactement la même année de maladie en 1858. Puis quelques années plus tard en 1864, son père, mon mari, Philippe Léonard, directeur de l’hôpital de Genève. N’étant pas marié et sans enfants, toutes ces morts l’ont profondément marqué. Heureusement que je suis encore là, moi… »

Vidéo 2:
« Dites, en me baladant dans cet somptueux musée, j’ai découvert l’une de me théières préférées, mais je n’arrive plus à la retrouver maintenant. Je n’ai plus la mémoire de mes vingt ans. Pouvez-vous m’aider ? Elle se trouve au premier étage, dans la salle d’étude.

Elle n’est ni allemande, ni orientale, ni italienne, pas angulaire, et avec un décor printanier unicolore.Pouvez-vous la retrouver? Revenez me voir avec son numéro dans la vitrine. Merci infiniment ! Cette théière me rappellera de précieux souvenirs de ma tendre enfance. »